Les enfants que nous avons rencontrés dans le Lares vivent dans des conditions précaires. La pauvreté est prégnante.

Il fait tellement froid qu’ils ne doivent pas se laver régulièrement. Leurs frimousses comme leurs affaires sont sales. Leurs joues sont rougies par le soleil.
Ils avaient l’air un peu effrayés de nous voir. Je ne suis pas certaine que beaucoup de touristes arrivent jusque là régulièrement.
Belles photos de ces petits bisous