J48 – ENCORE DES LAGUNES A SAN PEDRO DE ATACAMA (2) !

Les enfants sont fatigués, ce matin. Mais, nous devons changer d’hôtel…dommage, nous y étions bien installés.

Nous enfilons nos sacs à dos pour nous arrêter au terminal de bus pour prendre les tickets de bus pour SALTA. Les enfants jouent pendant ce temps.

Nous marchons jusqu’à l’autre hôtel pendant ¼ d’heure, c’est long avec tous les sacs. Cependant, l’hôtelière souhaite que nous payions nos 4 nuits d’avance. Comme nous sommes limités dans les retraits, et que nous ne pouvons pas lui verser l’intégralité du prix sur le champ, nous sommes tout simplement mis à la porte. Nous repartons donc avec nos sacs à dos un peu en colère. 

Nous ne faisons pas la fine bouche… quand nous trouvons une chambre avec une salle de bain commune.

Nous prenons notre petit déjeuner et faisons les devoirs avant d’aller déjeuner au Café Katarpe. Le menu n’est pas cher 3500 sur place et 3 000 à emporter pour un empanada et un jus de fruit, mais nous n’avons pas droit au sourire des serveuses. Manifestement, c’est en plus !

Petite sieste avant d’aller rejoindre notre groupe pour faire notre sortie à la lagune Céjar, la salinité de cette dernière permet de flotter comme dans la mer Morte.

Quand nous sortons de la ville, nous nous rendons compte que la ville de SAN PEDRO DE ATACAMA est située dans une oasis au milieu d’un désert de terre entre les montagnes. C’est vraiment aride.

Sur la route, nous voyons des ânes domestiques à l’état sauvage.

Nous nous arrêtons à la Laguna Tebenquiche (2000 pour adultes et 1000 pour les enfants) qui a une forte concentration en sel.

Puis, nous passons aux « oros del salar », deux trous parfaitement circulaires remplis d’eau, qui sont placés côte à côte, comme deux yeux (d’où leur nom).

Enfin, nous regagnons la Laguna Cejar y Piedra. Malheureusement, le ciel se couvre fortement et le vent se lève. Il ne fait vraiment pas chaud…Les enfants veulent malgré tout se baigner. Ils y vont avec leur père. Mais, Luc se met à hurler de douleur. Nous n’avions pas pensé que le sel lui ferait si mal sur sa peau légèrement abîmée par la sécheresse. C’est la course vers la douche d’eau douce…

Bon, c’est dommage, l’expérience n’a pas été une réussite. Je n’ai même pas eu le temps d’y aller.

Nous regardons le coucher du soleil tantôt sur la lagune et tantôt sur le Licancabur en dégustant un verre de Pisco, ce qui fait du bien à tout le monde !

Petit – : Nous nous rendons compte qu’après le trek dans le Salar, nous avons admiré assez de lagunes…et je dois dire que nous sommes lassés d’en voir. Nous avons, je crois, envie de changer de paysages.

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