
Nous sommes réveillés assez tôt (6 heures). Nous faisons des devoirs et partons découvrir le quartier.


Nous mangeons dans une espèce de grand centre commercial. Comme d’habitude, nous mangeons bien et même Jean qui fait son difficile apprécie son plat.



Nous récupérons nos affaires et prenons un taxi pour rejoindre l’aéroport DMG de BANKOK. Je regrette de ne pas sentir les fleurs de jasmin quand je rentre dans le taxi. Il y a 20 ans (cela ne me rajeunit pas !), ils en avaient tous dans leur voiture.
Nous attendons dans l’aéroport notre départ pour la BIRMANIE ! Initialement, nous n’avions pas prévu d’aller dans ce pays. Mais, à force de rencontres et de voir des photographies, nous avons décidé d’intégrer ce pays dans notre voyage.
L’avion décolle. De l’avion, Jean constate que la ville de Bangkok s’étend à perte de vue. Le vol est rapide. Quand nous nous approchons de YANGON, nous ne voyons même pas la capitale tellement c’est pollué ! Les formalités douanières se passent rapidement sur des signes de tête ; aucun mot d’échangé.
A peine arrivés, nous prenons une carte sim locale pour être tranquilles. Heureusement que nous avons téléchargé l’application Grab qui est l’homologue asiatique d’Uber, ce qui nous permet de payer beaucoup moins cher notre course vers l’hôtel. Nous arrivons à notre hôtel qui je dois le dire n’est pas top… J’avais oublié notre vie backpacker.
Luc s’endort dans le taxi et ne se réveille même pas quand nous arrivons ! Notre chambre est située au 4ème étage et ne dispose pas de fenêtre. L’escalier est raide. Heureusement que nous n’avons pas réservé toutes les nuits prévues sur YANGON…

Nous partons manger dans la 19ème rue, dans le quartier China Town.


La rue est très animée. Les barbecues se mettent en place. Tu peux choisir une brochette à cuire et la déguster. Nous mangeons au « Kosan 19th St. Snack & Bar ». Nous nous régalons et les gens sont très gentils et s’amusent avec les enfants – enfin Jean et Amaya car Luc dort et ne se réveille même pas pour manger.




Premiers ressentis :
Jean : « C’est bizarre. Cela change. Les gens sont très appréciables car ils me font coucou chaque fois qu’à moi ».
Amaya « du bruit, du monde, cela pue. Cela fait bizarre. C’est pollué. J’ai senti 10.000 odeurs ! Tu ne te sens pas chez toi. Papa, tu as remarqué, ils traînent les pieds ».